Le métier de serrurier a encore de beaux jours devant lui malgré le développement de la technologie sur les procédures de sécurité électronique. Une serrure mécanique, même sophistiquée, sera toujours visible au niveau d’une maison ou d’un bâtiment. Pour faire le bon choix en termes de serrurier, il faut déjà comprendre le principe de ce métier. Cela vous aide à faire la différence entre un bon et un mauvais serrurier.

Être un serrurier, un métier qui demande des compétences

Pour devenir un serrurier respecté comme le Serrurier Gerard, il faut suivre une formation et se soumettre à des apprentissages. Ce sont les critères nécessaires pour proposer un service satisfaisant auprès du client. Cela implique la maîtrise des différentes activités qui sont liées au métier de serrurier. Cela inclut la pose, la dépose et la réparation de serrure (classique et sophistiqué).

Le serrurier est aussi adroit dans la réalisation de différends de menuiserie. Il a les compétences nécessaires pour poser et entretenir des volets roulants. Il s’occupe aussi de l’entretien et de la réparation d’une porte.

Ses compétences en ferronnerie le rendent apte à faire des créations à base de fer. Il peut gérer le projet du traçage à la découpe des pièces. Sa présence peut même être requise pour le dépannage ou la réparation d’un coffre-fort.

Le serrurier s’adapte à son temps et son époque. Aujourd’hui avec le concept de l’économie d’énergie, il doit être capable d’améliorer les performances énergétiques d’un établissement ou d’un logement. Comme vous pouvez le voir, le métier d’un serrurier ne se résume pas à la réparation et au dépannage de porte ou poignée en détresse.

La formation d’un serrurier

Exercer le métier de serrurier est une chose qui s’apprend. Pour acquérir les compétences et connaissances nécessaires, il est primordial de suivre une formation. L’obtention d’un certificat ou d’une qualification confirme l’aptitude d’un apprenti pour exercer le métier de serrurier. Pour se prononcer en tant qu’artisan serrurier, il faut avoir au moins un CAP en serrurerie-métallerie. Autrement, le serrurier peut encore poursuivre ses études dans le but d’obtenir un brevet professionnel.

Un bac pro en ouvrage du bâtiment pour la métallerie permet aussi d’exercer le métier de serrurier. C’est également possible avec un diplôme de niveau bac en sciences et technologies de l’industrie et du développement durable.

Dès lors, il peut choisir de travailler au sein d’un cabinet ou de se mettre à son compte. Dans le cas où il exerce à son propre compte, sa rémunération se fera en fonction des heures de travail qu’il a effectué. Pour obtenir un revenu régulier et stable, il est important de proposer une prestation satisfaisante et de qualité auprès de tous les clients.

Dans le cas où le serrurier travaille pour le compte d’une entreprise spécialisée, son salaire avoisine les 1200 euros. Soit le salaire minimum imposé par la loi. L’avantage de cette situation réside dans la régularité et la stabilité du revenu encaissé tous les mois.

Pour être sûr d’avoir un serrurier efficace à votre service, ça peut toujours servir de se fier sur la notoriété de l’établissement où votre artisan a effectué sa formation.