Les panneaux solaires chez (MB Energies https://www.mbenergies.fr/lagence/) pourraient nous fournir beaucoup plus que de l’énergie propre ; une nouvelle recherche indique que cela pourrait également aider les cultures à croitre dans les zones arides.

Les « agrivoltaïques » ou le partage solaire !

Ce nom indique le partage entre les (panneaux photovoltaïques https://www.mbenergies.fr/) et l’agriculture. Cette idée a connu un essor incontournable récemment mais les études qui ont suivi les systèmes d’alimentation, l’énergie solaire et l’eau associées n’étaient pas nombreuses.

En outre, aucune de ces recherches n’a été mené dans les zones arides alors qu’elles sont confrontées à des problèmes de production alimentaire et à des pénuries d’eau alors qu’elles sont surabondantes en énergie solaire.

Gain d’espace et création d’une symbiose entre les plantes et les PVs

« Beaucoup d’entre nous veulent plus d’énergie renouvelable, mais où mettez-vous tous ces panneaux ? Au fur et à mesure que les installations solaires se développent, elles ont tendance à se trouver en périphérie des villes et, historiquement, nous cultivons déjà notre nourriture là-bas » a déclaré Greg Barron-Gafford, professeur agrégé à la Faculté de géographie et de développement et auteur principal de cette étude. Il faut donc joindre l’utile à l’agréable, créer des espaces adéquats pour l’emplacement des panneaux photovoltaïques sans avoir besoin de détruire les cultures mais, plutôt, leur garantir plus d’énergie solaire.

L’étude récente montre également que la terre est alors couverte avec le plus grand potentiel d’énergie solaire photovoltaïque basée sur une analyse approfondie de la lumière solaire entrante, de la température de l’air et de l’humidité relative.

Quelles sont les meilleures plantations sous un champ photovoltaïque ?

Les professeurs et les étudiants ont tout mesuré, de la germination des plantes à la quantité de carbone absorbée par l’atmosphère et de l’eau qu’elles rejetaient, jusqu’à leur production alimentaire totale pendant la saison de croissance.

L’étude s’est concentrée sur les plants de poivrons, de petit-pois et de tomates cerises placés sous un champ photovoltaïque. Au cours de la saison de croissance estivale (3 mois), les chercheurs ont surveillé en permanence les niveaux de lumière entrante, la température de l’air et l’humidité relative à l’aide de capteurs montés au-dessus de la surface du sol, ainsi que la température et l’humidité de la surface du sol.

La zone de plantation traditionnelle et celle suivant un système agrivoltaïque ont, tous les deux, reçu des taux d’irrigation égaux et ont été testés selon deux scénarios d’irrigation : irrigation quotidienne et irrigation tous les deux jours.

Résultat ? le système agrivoltaïque a eu un impact significatif sur trois facteurs qui affectent la croissance et la reproduction des plantes : les températures de l’air, la lumière directe du soleil et la demande atmosphérique en eau. L’ombre fournie par les panneaux photovoltaïques a entraîné des températures diurnes plus fraîches et des températures nocturnes supérieures à celles du système traditionnel de plantation à ciel ouvert.

La production de certaines plantes a augmenté de 65% contre 15% pour d’autres ! Ce qui est vraiment impressionnant.

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